Se réchauffer pendant l’hiver.
Il faisait vraiment très froid hier ici. Avec le vent, on pouvait ressentir quelque chose comme -40 degré dehors. J’avais très envie de me réchauffer et la meilleure idée que j’ai eue a été d’aller danser un peu dans un bar super chouette près de chez-moi. J’ai mis mes bottes hautes blanches, une mini jupe style écolière et une chemise ouverte qui laisse paraitre mes dessous en satin mauve. Avec mon mateau de fourure noire hyper sexy, j’étais prête pour aller m’amuser et danser toute la nuit.
En arrivant, je me suis dirigée vers le bar. La piste de danse était bien remplie et n’attendais que moi. J’ai pris un verre de tequila pour pimenter la soirée en beauté et je l’ai bu d’un trait, accompagné d’un peu de sel et d’un bon citron. Le même sort fut réservé pour un deuxième et troisième verre. Le soleil chaud du Mexique m’avait bien préparé à danser. Et c’est ce que je fis immédiatement. Il y avait beaucoup de filles dans le bar, et plusieurs dansaient près de moi. Nous étions si nombreuses et si proche l’une de l’autre que je pouvais parfois sentir leur poitrine sur mes bras et dans mon dos. J’avais de plus en plus chaud en pensant à la douceur de leur seins qui pointeraient vers moi, que je pourrais prendre à deux mains, léchant leur mamelon rose en les entendant haleter doucement. La musique était de plus en plus forte et je remarquai une fille grande et brune à la poitrine belle et ronde et magnifique et au sourire remarquable. Elle dansait magnifiquement, faisant onduler ses hanches, découvrant ainsi un cul d’enfer et des jambes agiles et désirables. Elle monta sur le promontoire et c’est ainsi que je la suivit.Sur cet endroit surélevé, nous nous sommes regardées, elle m’a sourit, et du regard, nous avons commencé à danser ensemble. D’abord en se désirant l’une l’autre puis rapidement, nous nous sommes rapprochés pour effectuer une danse plus explicite. Nous avons commencé à nous embrasser langoureusement avec la langue puis ma bouche a descendu jusqu’à sa poitrine chaude pour continuer le long de son ventre et enfin sentir sa chatte sous sa mini jupe blanche. Je me penchai un peu plus pour découvrir qu’elle n’avait pas de petite culotte. Excitée, je recommencai à danser près d’elle par ondulation langoureuse de nos corps en sueur. Je sentais ma chatte mouillée qui n’en pouvait plus. Les gens autour de nous nous regardait et je sentais aussi leur excitation monter. Le bar était en feu et ça sentait le sexe à plein nez. Complices, la jeune fille et moi sommes allés vers le fond du bar où se trouvait la salle de bain.
Là, je la plaquai contre le miroir en prenant ses poignets menus en les tennant vers le haut. Je l’embrassai avec conviction puis en délaissant ma prise, je me repris en enpoignant doucement son joli cou et j’enfonçai davantage ma langue dans sa bouche invitante. Je me mis par la suite à embrasser son cou, puis ses joues et je l’entendai gémir. Je mis l’autre mains sur sa cuisse et remontai tranquillement vers sa chatte humide et chaude. Les mouvements de va et vient entre ses cuisses douces la firent crier un peu et je mis ma main sur sa bouche pour qu’elle reste calme et sage. Ses yeux me suppliaient de continuer. En continuant de la faire jouir, j’ai ouvert sa chemise et j’ai commencé à goûter aux sublimes douceurs de ses seins parfaits dont je mordillais les roses mamelons. Je sentais sa chatte se gonfler et je ne pouvais plus m’empêcher de descendre ma bouche jusqu’au miel de son sexe savoureux que je léchai avec conviction.
Je sentais qu’elle voulait plus, elle aimait le sexe autant que moi et elle voulait jouir de tout son corps. c’est alors que j’enfonçai un doigt dans son anus et je l’entendis étouffer un gémissement de jouissance absolu. J’osai davantage et utilisai un deuxième, puis un troisième doigt, tout en continuant de lécher son sexe exquis. Elle ondulait de plus en plus vite et je sentais qu’elle allait jouir, qu’elle en voulait encore et encore… c’est alors que j’arrêtai tout. Elle poussa un cri de mécontentement et je voyais bien qu’elle souffrait, qu’elle en voulait encore plus. Je la poussa donc dans un cabinet et je ferma la porte. Elle était excitée plus que jamais et moi aussi, nous nous sommes mises complètement nues.
Elle était magnfique et parfaite, sa peau était chaude et bronzée, ses jambes, interminables et ses seins bien gros et bien durs. Je les léchai donc avec conviction tout en les tenant fermement dans mes mains. Ce n’était pas assez pour elle, cette salope en voulait toujours plus, je frappai donc de ma main ses seins pour les voir rebondir de plaisir. J’enfonçai mes doigts dans sa bouche et elle les suça langoureusement. Je pris ensuite mes doigts et lui défonçai vigoureusement le cul tout en léchant son sexe en extase. Elle n’en pouvait plus et criait de plaisir, j’entendais les gens derrière la porte s’exciter en nous entendant baiser. De l’autre main, j’enfonçai de plus en plus profondément trois doigts dans sa chatte humide. Elle s’agitait de plus en plus et je commençai à me masturber en même temps que je m’occupais d’elle. De plus en plus excitée, nous gémissions de plus en plus et lorsque je sentis qu’elle allait jouir, je me suis affairée davantage à mon sexe gonflé d’excitation. Nous avons joui toutes les deux en même temps, moi son sexe dans ma bouche. Nous nous sommes par la suite embrassés longuement, sentant nos seins se frotter les uns sur les autres.
C’est comme ça que les petites salopes québécoises se réchauffent par les froides soirées d’hiver.